Sous l’horizon la mer
à la recherche du patrimoine du futurC’est la premère fois que Bayo, Mamadou, Adama, Mohamed, Abou, et Aude font de la radio. Ils ont entre 15 et 17 ans. Ils sont un peu stressé,le coeur bat.
Alors avant d'appuyer sur REC, on a eu besoin de se rassurer, et de laisser émerger quelques questions : C'est quoi le patrimoine ? C'est quoi notre patrimoine ? Nous, c'est qui ? Comment s'approprier un héritage collectif lorsqu'on est né sur un autre continent ? Comment se projeter dans la construction d'un patrimoine futur, lorsque l'horizon et la mer nous rappelle le passé ? Questions vertigineuses qui flottent là, dans un coin de nos têtes.
Cet été on voulait enregistrer ensemble des gens des quais et des bateaux aux Fêtes Maritimes.
Samedi 13 juillet. 11h. Là maintenant, micro en main, en plein dans le présent, on est allés à la rencontre de celles et ceux qui transmettent le patrimoine maritime, à leur échelle.
Samedi 13 juillet. 11h. Là maintenant, micro en main, en plein dans le présent, on est allés à la rencontre de celles et ceux qui transmettent le patrimoine maritime, à leur échelle.
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Pendant les Fêtes Maritimes, qu'est-ce que nous célébrons ? ”
À l'automne, on s'est demandé si l'arme nucléaire c'était notre patrimoine ? Depuis la rade de Brest, on pensait à l'Île Longue face à nous et à ses quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins.
Avec Mamadou, Mohamed, Abou, Maïga et Adama on s'est rappelé qu'on ne choisit pas notre héritage, avant d'affiner notre question : En France, est-ce que les sous-marins nucléaires font partis de notre patrimoine ?
À l'École Vauban, aux Fêtes maritimes de Brest 2024 et au Jardin des Explorateurs, on a cherché des réponses.
Avec Mamadou, Mohamed, Abou, Maïga et Adama on s'est rappelé qu'on ne choisit pas notre héritage, avant d'affiner notre question : En France, est-ce que les sous-marins nucléaires font partis de notre patrimoine ?
À l'École Vauban, aux Fêtes maritimes de Brest 2024 et au Jardin des Explorateurs, on a cherché des réponses.
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J'ai travaillé 35 ans à l'Île Longue, à partir de 1970.”
Merci à Brigitte Millet, Robert Le Ru et Laurent Cargueray.